Hommage à Òscar López Martínez

El instituto Eusebio da Guarda se ha ensombrecido ante el fallecimiento de nuestro querido compañero Óscar, profesor de lengua castellana. Ese señor bajito con gafas, como el mismo se describía, ha dejado en toda la comunidad escolar un gran dolor por su ausencia. Todos aquellos que hemos hablado con él en alguna ocasión, guardamos en nuestra memoria algunas frases o palabras que han marcado nuestras vidas, y ahora seremos nosotros los que con gran afecto y nostalgia, le dedicaremos nuestro recuerdo en nuestras mentes.

Este bello poema ha sido leído por el sacerdote que ofició su funeral:

La mort n'est rien

La mort n’est rien,
Je suis seulement passé dans la pièce à côté.
Ce que nous étions les uns pour les autres,
Nous le sommes toujours.

Donnez-moi le nom que vous m’avez toujours donné.
Parlez-moi comme vous l’avez toujours fait.
N’employez pas un ton différent.
Ne prenez pas un air solennel ou triste.
Continuez à rire de ce qui nous faisait rire ensemble.

Priez, souriez,
Pensez à moi.

Que mon nom soit prononcé à la maison
Comme il l’a toujours été,
Sans emphase d’aucune sorte et sans trace d’ombre.

La vie signifie ce qu’elle a toujours signifié
Elle reste ce qu’elle a toujours été.
Le fil n’est pas coupé.
Pourquoi serais-je hors de vos pensées ;
Simplement parce que je sui hors de votre vue ?

Je vous attends.
Je ne suis pas loin.
Juste de l’autre côté du chemin.

Charles Péguy

On est allés au cinéma

Les derniers 20 janvier et 17 mars nous sommes allés au cinéma, voir deux films en version originale au CGAI, accompagnés de nos professeurs.

Le premier film appartenait à l'un des grands réalisateurs français du vingtième siècle: François Truffaut. Le titre: Les 400 coups. Considéré comme un chef d'oeuvre dans la filmographie du cinéaste français, il s'agit d'un film de l'année 1959 qui nous présente quelques jours de la vie d'un adolescent de 14 ans qui a des problèmes d'adaptation au monde qui l'entoure.

Le deuxième film était une production belge, réalisée par les frères Dardenne, dont le titre était "La promesse", il s'agissait d'un travail de l'année 1996, avec un thème très actuel, celui de l'immigration. Igor, le personnage principal, doit choisir entre suivre son père et tout ce que cela signifie, ou bien tenir à une promesse faite à Amidou, un immigrant accueilli par son père, avant la mort de celui-là.

Il s'agit ici de nous donner votre opinion par rapport à l'un de ces films, celui que vous avez vu. Avez-vous aimé? Non? Pourquoi? Est-ce que c'était la première fois que vous êtes allés voir un film v.o.s.? Vous croyez qu'il ya a des avantages?